Variation Paysagère [4]

Dans l'attente - Cantal - Avril 2007

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Comments

[Bruno]

Cela pourrait être sympa , à méditer !

Bonne journée

[jp]

Merci Bruno des tes venues.

Décidément je n'arrive pas à trouver le temps de venir scruter en profondeur les blogs-amis. J'espère le retrouver.

De ton commentaire me vient une idée d'échange: à partir d'un même objet, sujet, thème, oeuvre ou lieu à définir collégialement éditer simultanément nos résultats. A suivre.

[Bruno]

désolé pour ma réponse tardive , mais je ne t'oublie pas .

Merci pour la précision , je dirais que l'art qu'il soit conceptuel, sociologique ,ready-made... est toujours là pour démontrer une chose , une idée, interpeller, faire réagir il a sa place de plus en plus dans notre société . Que serait une société sans culture . sans art , sans communication.

Bonne soirée

[jp]

Il y a pourtant bien ici une histoire d'intervention humaine mais avec des directions opposées. L'une d'elles, comme tu l'as évoquée, se prête plus au respect de la nature, même si il y a domptage de celle-ci et la mainmise de l'homme évidente.
En ces mêmes lieux naissent des gestes en opposition. Ces gestes de rejet et d'abandon de notre vie superflue trouvent un écho à l'état primaire de ce que devait être ce paysage.
Finalement ce serait plus un cycle qu'une opposition.

[van acker]

Moi qui pensais qu'il y avait un lien narratif dans l'ensemble de la série... Je commençais à me demander s'il n'y avait pas une histoire d'intervention de l'homme sur le paysage (élagage, chemins, murets, haies...) et une réponse violente de la nature sur l'humain et son quotidien. Je ne comprenais pas trop.
De nos gestes au sens large alors. Pas seulement celui consistant à jeter ces objets dans ces lieux (?). Fabriquer, acheter, consommer, utiliser, user, jeter... sans compter ceux relatifs à chaque objet présent ; s'asseoir, plier, déplier, regarder la télé, se reposer, déféquer (bin, oui, y'a une cuvette de wc j'ai vu). Le rapport d'abandon de ces objets qui constituent notre environnement quotidien avec notre abandon de notre environnement naturel peut aussi apparaître. Dans ce sens, ces deux paysages, ces deux aspects peuvent se rejoindre dans la même impression ; celui d'une forme de mélancolie du rejet.
Enfin bref ! tout sauf une opposition manichéenne.