Participation

Salon Réalités Nouvelles 2007

du 10 au 15 avril 2007 de 11h00 à 19h30
au Parc Floral de Paris, 75012 Paris

Vernissage le lundi 9 avril 2007
de 17h00 à 22h00
Débat avec la participation de Lydia Harambourg, Pierre Descargues et Alin Avila le soir du vernissage à 19h00
"Le salon des Réalités Nouvelles, son origine l'Europe"

Entrée "Pyramides-Nymphéas"
Métro "Chateau de Vincennes"
Bus 112 - Arrêt "Stade Léo Lagrange"
Parking gratuit

Lien : http://www.realitesnouvelles.org

Comments

[jp]

Enivrant.

[van acker]

Ah mais au fait ! y'a aussi une buvette ! alors jp, c'était comment la buvette ?

[jp]

Raphaële et Van Acker merci à vous pour votre présence, ce salon permet aussi des rencontres, de retrouver des traces de connaissances et/ou de continuer à suivre le parcours de certains. Et étant légèrement plus impliqué que le dépot/retrait de l'oeuvre je peux dire que ce salon est vraiment magnifique dans son ensemble.

[van acker]

D'accord avec jp. C'est une manifestation de qualité. Personnellement, je ne pensais pas y passer autant de temps! il y a beaucoup à voir, à regarder, à sentir. Sur ce dernier point, un certain décalage générationnel vient parfois hanter les allées. Je crois qu'il faut le respecter. J'évoquerais plus une densité qu'une réelle diversité (peu de photos, aucune installation, aucune vidéo par exemple) mais dans cet ensemble on retient quelques noms, ou quelques oeuvres au moins que l'on espère représentatives (c'est un peu l'écueil de l'oeuvre unique par exposant). Alors sans rien prétendre, je retiendrai un certain Jean-Pierre BERTOZZI bien sûr, Edouard BUZON avec un travail de photo-peinture vitrifiée, Robert DELAFOSSE foisonnant d'effets picturaux énergiques mais domptés, Delphine DE LUPPE avec ses petits travaux sur papier qui mêlent la nervosité graphique à la transparence grasse du pastel dans une fraîcheur qui pourrait bien évoquer celle de quelque paysage. J'ai retenu aussi (même si j'ai mis un certain temps à comprendre) les galettes caoutchouteuses de Xavier ESCRIBA qui semble découper dans la couleur plus que Matisse lui-même. En sculpture, moins de rencontres mais j'ai bien aimé les structures aériennes de Laurence PLONCARD qui gardent comme un mystère de mise en oeuvre. Pour les gravures, je conserve en mémoire plus particulièrement les planches très travaillées de Khédija ENNIFER-COURTOIS. A la fois peu et beaucoup de choses donc. Quoi qu'il en soit, ce Salon mérite bien une visite attentive. Au bout du compte, ce sera à chacun la sienne. Et qui sait, peut-être aurez-vous la chance d'y croiser aussi una ballerina agli occhi magnifici ?

[Raphaële]

Je confirme tout cela...La peinture a besoin d'être vue à l'échelle, et avec les vrais coloris, en particulier la tienne... Ce qui m'a marquée dans ce salon, JP, c'est un peu le triomphe de la peinture, justement. Merci de m'y avoir conviée.